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Les grands travaux du 19ème siècle et, en premier lieu, la construction du
pont  et de ses accès ont transformé le paysage rochois, mais aussi la
route de Redon au Croisic achevée en 1847. En effet, la municipalité ayant
refusé le raccordement au chemin de Guérande par le Rodoir, c’est la
descente de la rue St-James qu’il fallut prolonger par une rampe en lacets détruisant une vingtaine de  maisonnettes sur la pointe du Ruicard.

Le passage malaisé conduisit en 1856 au dessin d’un plan d’alignement.

La maison du canon fut épargnée par cette contagion Haussmannienne au détriment des maisons qui encombraient ce virage. Cela nous valut un
spécimen très élégant de pavillon art nouveau en tuffeau mais la façade
en briques semble se désoler de la perte irréversible de cette autre maison
à pans de bois dont il ne reste que quelques clichés et un morceau de
charpente au musée départemental, la belle affaire !

The “PLACE DU PILORI”

Major building works of the 19th century, the construction of the bridge and the construction of the road from Redon to Le Croisic in 1847, transformed the topography of the town.   Because the Municipality had refused to link the new road via the Rodoir, the Rue St. James had to be extended causing the destruction of some 20 small houses in the old Quarter.  The Maison du Canon (the Mairie) escaped this redevelopment.  An elegant art nouveau house in limestone also remains, but it would have replaced a timber- framed one.

 

                                     

carte postale ancienne vers 1905-1910 avant                                                      Vue prise en 2018

la démolition de la maison à colombages